Je peux enfin dire la nouvelle officiellement! J'ai été sélectionné par le Conseil des arts et des lettres du Québec être l'artiste en résidence à Londres. Voici le communiqué diffusé par le Studio Premières Lignes qui dit pas mal tout :
«Le Studio coopératif Premières Lignes (SPL) est fier de vous annoncer que le papa du Projet Outaouais, Christian Quesnel, sera l’artiste en résidence qui inaugurera le studio du Conseil des arts et des lettres du Québec à Londres, en Angleterre, de juillet
à décembre 2009. Premier artiste en bande dessinée à être en résidence au CALQ, il y travaillera sur son projet d’album BD, « Cœurs d’argile », qui se déroule à Saint-André-Avellin. L’annonce a été faite hier par la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec, Madame Christine St-Pierre, au Musée d’art contemporain de Montréal.
Auteur et illustrateur de nombreuses bandes dessinées, récits graphiques et livres jeunesse, Christian Quesnel vit à Saint-André-Avellin, dans la Petite-Nation, en Outaouais. De plus, il travaille avec des artistes de différentes disciplines dont le conte, le théâtre, l’histoire et la poésie. Il a participé à plusieurs manifestations culturelles d’envergure en France, en Suisse, en Finlande et au Canada. Il a aussi remporté le prix à la création artistique du Conseil des arts et des lettres du Québec aux Culturiades 2008. Sa pratique artistique en bande dessinée, en peinture et en récits graphiques est influencée par le contact des différentes cultures, soit par le sujet ou les techniques utilisées. Dans le contexte des pratiques de l’art actuel, il définit le contact des cultures comme le rapport du créateur à différentes visions du monde et de l’esthétisme, contribuant à l’enrichissement de l’œuvre et de la création par le métissage. L’identité, produit de multiples croisements et constamment en mutation, est donc au cœur de sa pratique artistique. Londres est le lieu idéal pour observer ces croisements culturels.
Pendant sa résidence dans la capitale britannique, Christian Quesnel continuera à assumer les fonctions de président du conseil d’administration de SPL et la direction artistique du collectif « La Machine du Bonhomme Sept-Heures » qui regroupe quatre adaptations en BD de quatre nouvelles fantastiques de l’auteur Claude Bolduc et qui paraîtra à l’automne 2009.»
De gauche à droite sur la 2e photo : Madame Francine Royer (Chargée d'affaires régionales et internationales du CALQ), Monsieur Yvan Gauthier (Président-directeur général du CALQ), Josée Dubeau (une autre artiste de l'Outaouais qui, elle, inaugure la résidence du CALQ à Tokyo) et à ma gauche, Madame Christine St-Pierre (ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec) avec un exemplaire du Projet Outaouais dans les mains.
Les photos sont de Marc Tessier.
mardi 26 mai 2009
jeudi 21 mai 2009
L'ami imaginaire VII
mardi 19 mai 2009
L'ami imaginaire VI
Voici enfin une planche terminée que j'ai pu compléter à mon retour de Hearst. Il y a beaucoup de recherche dans les deux cases du bas puisqu'il fallait trouver des photos de chaque membre de la famille ainsi que de l'intérieur d'une Oldsmobile 1936. De plus, j'ai égaré la fameuse poupée dont Nausicaa voit des ressemblances avec son ami imaginaire...
J'espère pouvoir m'y remettre assez rapidement et intensément dans les prochains jours...
J'espère pouvoir m'y remettre assez rapidement et intensément dans les prochains jours...
mercredi 13 mai 2009
Décès chez les Quesnel
Impossible de saisir l'histoire tel un sable fin qui nous glisse entre les doigts. Elle est en mouvement constant ce qui est encore plus intéressant.
J'ai su que le 16 avril dernier mourrait Jacqueline Quesnel (sur la photo du bas), veuve de Paul-Émile, le fils aîné de Lionel. Établi en Floride depuis de nombreuses années, je n'ai pas connu cette branche des descendants de Lionel. Celui-ci aurait dit à Paul-Émile avant son remariage en 1934 : «Je veux que tu saches que je ne prend pas épouse mais bien que je vous donne une mère, à vous, mes quatre enfants».
On peut voir Paul-Émile sur la photo du haut prise sur ma galerie avant, à Saint-André-Avellin. Pour apercevoir d'autres photos du couple Paul-Émile/Jacqueline, vous pouvez cliquer sur ce lien.
J'ai su que le 16 avril dernier mourrait Jacqueline Quesnel (sur la photo du bas), veuve de Paul-Émile, le fils aîné de Lionel. Établi en Floride depuis de nombreuses années, je n'ai pas connu cette branche des descendants de Lionel. Celui-ci aurait dit à Paul-Émile avant son remariage en 1934 : «Je veux que tu saches que je ne prend pas épouse mais bien que je vous donne une mère, à vous, mes quatre enfants».
On peut voir Paul-Émile sur la photo du haut prise sur ma galerie avant, à Saint-André-Avellin. Pour apercevoir d'autres photos du couple Paul-Émile/Jacqueline, vous pouvez cliquer sur ce lien.
lundi 11 mai 2009
De retour du Salon du livre de Hearst
Je reviens tout juste du Salon du livre de Hearst qui se tenait du 7 au 9 mai dernier.
J'y ai fait encore une fois de belles rencontres dont Marlène Rheault, enseignante au secondaire en arts plastiques. Nous nous sommes rencontrés en 2002 lors de la deuxième édition du SLH mais j'avoue avoir été particulièrement gâté lors de mon séjour par cette passionnée aux yeux pétillants (rencontres scolaires préparées de main de maître, visite de Hearst, dîner, etc.)...
Son conjoint, Kevan, m'a fait visiter les alentours dont le magnifique lac Ste-Thérèse que l'on peut voir sur une des photos. C'est d'ailleurs lors de cette visite que j'ai fait d'autres rencontres (celles-ci animalières) et que je suis tombé sur une voiture ancienne qui ressemblait beaucoup à celle illustrée dans «Des larmes sur la neige».
L'accueil du public au Salon a été géniale et l'équipe a su relever encore une fois avec brio le défi en organisant une programmation variée. Beaucoup de plaisir à discuter en compagnie de mes comparses Éric Phaneuf, du RÉCEF, et Jacques Poirier, de l'Université de Hearst. Tout auteur qui manque de venir au Salon du livre de Hearst passe à côté de l'occasion de recevoir énormément du plan de vue humain ce qui est pour moi, avant les mines et le bois, la plus grande richesse du Nord.
J'y ai fait encore une fois de belles rencontres dont Marlène Rheault, enseignante au secondaire en arts plastiques. Nous nous sommes rencontrés en 2002 lors de la deuxième édition du SLH mais j'avoue avoir été particulièrement gâté lors de mon séjour par cette passionnée aux yeux pétillants (rencontres scolaires préparées de main de maître, visite de Hearst, dîner, etc.)...
Son conjoint, Kevan, m'a fait visiter les alentours dont le magnifique lac Ste-Thérèse que l'on peut voir sur une des photos. C'est d'ailleurs lors de cette visite que j'ai fait d'autres rencontres (celles-ci animalières) et que je suis tombé sur une voiture ancienne qui ressemblait beaucoup à celle illustrée dans «Des larmes sur la neige».
L'accueil du public au Salon a été géniale et l'équipe a su relever encore une fois avec brio le défi en organisant une programmation variée. Beaucoup de plaisir à discuter en compagnie de mes comparses Éric Phaneuf, du RÉCEF, et Jacques Poirier, de l'Université de Hearst. Tout auteur qui manque de venir au Salon du livre de Hearst passe à côté de l'occasion de recevoir énormément du plan de vue humain ce qui est pour moi, avant les mines et le bois, la plus grande richesse du Nord.
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